Round 2. Après la plainte déposée par Médine contre la députée LREM Aurore Bergé pour diffamation, cette dernière a été invitée sur le plateau de CNEWS. À cet effet, elle s’est exprimée sur cette affaire, et ne semble pas avoir beaucoup évolué sur le sujet.
« Non je ne présenterai pas d’excuses« . Ça a au moins le mérite d’être clair, contrairement aux explications qui suivent. La députée parle ensuite d’attentats terroristes et affirme que par naïveté et clientélisme, nous avons permis que ces théories se diffusent dans le pays. Vous ne voyez pas le rapport avec Médine ? C’est normal il n’y en a aucun, pourtant ce sont bien ces explications qui, selon Aurore Bergé, justifient la non-présentation d’excuses.
Paradoxalement, elle en appelle ensuite à sa liberté d’expression. D’un coup tout devient plus logique, au nom de la liberté d’expression, elle souhaite que Médine ne puisse pas s’exprimer. Astucieux non ? Tout en empêchant les réponses sur Twitter aux personnes qu’elle ne suit pas. Logique.
Deux explications à ça : soit la définition de liberté d’expression lui est un peu floue, ce qui serait acceptable, soit elle considère que nous n’avons pas tous droit à la même, ce qui a malheureusement déjà été prouvé plus d’une fois en ce qui concerne Medine.
Quant à ce dernier, l’artiste originaire du Havre s’est contenté de poster une photo de lui sirotant un café, avec la légende suivante : « Être contesté c’est être constaté – Victor Hugo« . Il ne reste plus qu’à voir ce que donnera la plainte déposée par Médine..
Voir cette publication sur Instagram
