Il y a quelques semaines, Disiz aka Disiz la Peste a dévoilé son opus « L’amour ». L’auteur de « J’pète les plombs » a toujours été très sensible aux différents concepts dans le rap. Avec son dernier album « L’amour », il a tout simplement mis en place un story telling hors du commun : le début, le milieu et la fin de son histoire avec la mère de ses enfants.
Disiz assume son côté Pop !
Interrogé par le média Technikart, Disiz est revenu avec sincérité sur son côté Pop dans « L’amour ». Il en parle avec beaucoup sans détour et sans mentir : « Au quartier, il y a avait des bonhommes, des bagarreurs couverts de cicatrices et la tête de ma mère dans leur walkman, il y avait Etienne Daho. C’est la culture populaire, ça te touche. La Pop m’a autant inspiré que le rap par déterminisme social (on y échappe pas). Je me suis trop longtemps autorisé à piocher dans le rap et non la Pop. Laurent Voulzy et Alain Souchon je les ai autant écoutés que le Wu-Tang Clan. ».
Il raconte ensuite qu’avec « L’amour » il était tellement « au fond du trou » qu’il s’est autorisé à piocher partout !
