Depuis son départ de Def Jam, et New Time Songs, la chanteuse a pris sa carrière en main. Avec son dernier titre « Juste » annonciateur d’un premier véritable projet, l’interprète du plus beau remix de « 92iVeyron » rend une copie carrément « Chanson Urbaine« . Entre « Chanson française » et « Musique Urbaine« , ce style unique réconcilie les traditions de la France avec sa jeunesse souvent oubliée.
C’est justement la douleur des femmes que vient crier Lyna Mahyem. La cause féministe en France et ailleurs a peut être oublié les femmes des quartiers, mère ou jeune fille. Avec un titre très story tellé, la jeune chanteuse revient sur le quotidien de quelques unes de ces lionnes qui font le quotidien. C’était un morceau très attendu et même réclamé par sa fanbase. Mélancolique, il y a très peu d’espoir où Lyna est à la fois actrice et spectatrice du spectacle qui se joue devant ses yeux. La production instrumentale est le fruit du travail du quatuor Lyna Mahyem, Lionso, Sayton (Van & Cleef) et Sino (Van & Cleef).
A la caméra on retrouve un fidèle de Lyna, Kisa Godi, le réalisateur a toujours cru au talent de la chanteuse. Il est épaulé de Louis Chevalier et Lyna Mahyem. Le titre « Juste » qui a été chapeauté de bout en bout par Lyna elle recentre le sujet sur les femmes.
