Loin des projecteurs et des studios luxueux, Prizmo a commencé son parcours là où tout se joue vraiment : dans l’intimité de ses écrits. Originaire de L’Isle-sur-la-Sorgue, il a toujours eu le rap en tête, mais sans jamais franchir le pas. C’est un choc personnel, une rupture amoureuse, qui l’a poussé à passer du simple amateur de rimes au véritable artiste.
Il ne rappe pas pour impressionner, il rappe pour exprimer. Sa musique, c’est un exutoire, un journal intime mis en mélodie. Son premier son, De l’or, posté sur SoundCloud, reflète ce mélange de vulnérabilité et de rage retenue. Inspiré par ses propres blessures, il écrit avec une sincérité qui frappe et qui touche. « Prizmo, c’est moi à nu », pourrait-il dire, lui qui refuse les artifices et les faux-semblants.
Avec LA TOUR, il passe à l’étape supérieure. Son premier clip ne cherche pas à en mettre plein la vue, il veut juste marquer les esprits. Son univers se construit, pierre par pierre, rime après rime. Et s’il débute tout juste, son rap, lui, résonne déjà comme une promesse : celle d’un artiste qui mettra toujours son vécu au centre de sa musique.