Le collectif Lyonzon a hissé cette grande ville française au rang de capitale du rap. Porté par ses leaders, dont le charismatique Ashe 22, le collectif s’est rapidement imposé dans le sillage de la drill music. Bien avant que ce mouvement ne gagne en popularité en France, Gouap et ses acolytes faisaient déjà vibrer les tympans avec ce style directement venu du Chicago de Chief Keef. Aujourd’hui, le collectif se réunit au complet pour un titre électrique, après que plusieurs de ses membres ont poursuivi des carrières en solo.
Lyonzon déclenche le « Tsunami » !
La composition instrumentale du titre « Tsunami » est signée par Phazz, Gouap, et Sims3000, tous trois originaires de Lyon. Gouap, issu du quartier de La Guillotière, est un membre emblématique de Lyonzon. En plus d’avoir collaboré étroitement avec les membres du collectif, il a également composé des freestyles marquants tels que « Arah 1 & 3 ». Par ailleurs, ses collaborations incluent des artistes comme Lala &ce et Freeze Corleone.
De son côté, Phazz a marqué la scène avec des productions pour des artistes tels qu’Orelsan et SCH. Il est notamment l’auteur de l’instrumentale apocalyptique de « L’odeur de l’essence ». La composition de « Tsunami », angoissante et minimaliste, laisse les membres du collectif Lyonzon se relayer sur des couplets percutants, avec un refrain assuré par Ashe 22.
Certaines punchlines méritent une attention particulière, comme :
« Même à zéro, moi j’suis serein (Moi j’suis serein) / Tous les vendredis, samedis, les rats sont ronds (Ils sont khabat) / Nina j’l’accoste comme si j’vendais des Malboro »
ou encore :
« Goofy continue d’drop mais ses sons puent la merde, donc ok ouais j’le laisse dans le deuss’ / Lui, même pas sûr qu’il perce à trente piges, Wass il est dead, pour moi c’est le must. »
Le visuel, réalisé par 4real, met en scène le collectif avec leurs fans, que ce soit en boutique ou en concert. 4real est également à l’origine de clips pour Rvzmo, tels que « Focuss »ou « Même endroit ».
Après avoir dévoilé son opus « Capitaine fait de l’art », en référence à sa série de freestyles « Mozart Capitaine Jackson », avec des featurings de Kepler et Tvslym, l’ancien membre de PSO Thug revient avec le single « Sentiments billets de 100 ». Ce titre, résolument égotrip et bling à l’extrême, semble être une célébration de son succès fulgurant.
Lorsqu’il signe sur le label REC 118 et dévoile ses premières mixtapes « Trap$tar », l’artiste n’est pas encore au sommet de sa carrière. Il raconte même, au micro de Pascal Cefran sur Mouv’, qu’à cette époque, des huissiers frappaient à sa porte. Aujourd’hui, cette période est bien derrière lui :Leto a été certifié disque d’or avec « 100 Visages » et disque de platine avec « 17 % ».
Leto évoque ses « Sentiments billets de 100 » !
La composition instrumentale de ce morceau est, comme à l’accoutumée, signée par Scvlra et Raed. Ces deux beatmakers, affiliés aux labels Winterfell et La Garde de Nuit, collaborent régulièrement avec Leto. Ils sont notamment à l’origine des morceaux « Mozart Capitaine Jackson Episode 2 », « Je crois qu’ils ont pas compris », et « Tout gâché ». La prod, chill et empreinte d’influences US, est typiquement le genre de son sur lequel Leto excelle pour ses morceaux les plus posés.
Dans ce titre, le rappeur passe en mode égotrip total avec un bling omniprésent, lâchant des punchlines telles que :
« Billets d’200 dans un sac (ouh), 20 000€ pour des sapes (hun-hun, hun-hun) / Dans toutes sortes de positions elle me dit qu’elle trouve ça bon, hun »
ou encore :
« Bolide dernier cri (skuh), même si le ciel il est gris (ciel) / R.I.P, je pense à lui (peace), elle veut le faire toute la nuit (ouh). »
Le visuel, alternant entre villa de luxe et looks haut de gamme, a été réalisé par Cherif NoColor. Ce réalisateur a également mis en scène le clip de Leto, « Je crois qu’ils ont pas compris », ainsi que des collaborations comme « Que Lo Que » de Kaaris et ElGrandeToto, ou encore « Charger » de Landy et Guy2bezbar.
Soolkinga dévoilé son projet « Sans visa » en 2022, avec des collaborations remarquées aux côtés de Naps, Heuss L’Enfoiré, Reynmen, Kendji Girac, Tayc et Rim’K. Depuis, le rappeur a déjà sorti plusieurs hits, notamment « Casanova » en featuring avec Gazo. Membre du label Affranchis Music et ancien membre d’Africa Jungle, Soolking s’impose comme l’un des artistes les plus écoutés en France. À l’instar de Gims, il explore souvent les frontières de la Pop.
De son côté, Gimsenchaîne les succès avec des disques de diamant depuis son premier album solo « Subliminal ». Figure emblématique de la Sexion d’Assaut, il mène une carrière solo impressionnante, avec des revenus Sacem aussi enviables que ceux de Soprano. Récemment, il a dévoilé un nouveau featuring après « Après vous Madame », extrait de « Le Fléau », et le remix de « Guérilla », où apparaissait également Sofiane.
Pour Soolking et Gims, c’est « Carré ok »!
La composition instrumentale de ce titre est signée par Maximum Beats, Alban Chance, Soolking et Gims. Maximum Beats a souvent collaboré avec Gims, notamment sur les morceaux « Vent du Nord », « Te Amo » et « Thémistocle ». Il avait déjà travaillé avec la Sexion d’Assaut sur le morceau « Cheval de Troie », et avait également composé l’autre featuring entre Gims et Soolking, « Après vous Madame ». Alban Chance, de son côté, avait déjà collaboré avec Soolking sur le titre « Only You ».
La composition, à la fois rythmée et taillée pour les clubs, promet un hit puissant qui accompagnera l’hiver.
Les deux artistes chantent sur un ton ironique, malgré le caractère résolument dansant du morceau :
« Si jamais, j’ai plus d’quoi payer, est-ce que tu vas oublier ?
Tu t’rappelleras qui j’étais, ton amitié maquillée. »
Le visuel du morceau, tout en mouvement, a été réalisé par Soolking et Nabym Ben Bakar. Ce dernier est à l’origine de nombreux clips de qualité, tels que « Mon Roi » de Youssoupha, « Criminel » de Bramsito, ou encore « À la base » de PLK.
En 2024, HMZ a dévoilé une série de singles avec son style très particulier. Avec « Pas Fiable », « L’Homme qui frappe à la porte II », « V », « Conquistador », et « Pour nos ennemis » en featuring avec Lacrim, le rappeur développe son flow et surtout des textes toujours plus proches de la street, avec quelques punchlines qui frappent fort. Il a clôturé son année avec le single « Mérite » et son visuel.
HMZ récompense ceux qui méritent !
La composition instrumentale du morceau est signée TBC. C’est une instru froide et angoissante, avec une touche classique, bien qu’elle soit loin d’être une prod old school. Le rappeur évoque avec beaucoup de maturité son vécu dans la street, délivrant des punchlines ultra-caustiques telles que :
« Des marins devant l’averse, ils ont leurs yeux pour repleu »,
« Ils ont volé deux balles cinq, ils dégoûtent comme le parfum »,
ou encore « Striké par Interpol, c’est con, t’as pas de bol. Ils ont pisté ta femme depuis l’aéroport jusqu’à ta piaule. »
Le rappeur annonce son album au milieu du morceau avec cette phrase : « Tous attendent l’album. » Le visuel accompagne le rappeur en ville avec son équipe, entrecoupé de plans où il apparaît posé sur un fauteuil, tel un grand prince. L’artiste fera son grand retour l’année prochaine, sans doute avec un nouveau projet.
Pare Baal dévoile le projet « Ne Pas se Fier à la Couverture » (NPSFLC) !
En 2022, Pare Baal a présenté « Fortitude Sud », un projet à l’esthétique très originale qui détonnait dans le paysage rap actuel, largement influencé par les codes américains. Aujourd’hui, avec « Ne Pas se Fier à la Couverture » (NPSFLC), l’artiste rend hommage à Philip K. Dick, auteur culte de science-fiction des années 60-70. Ce dernier était connu pour ses textes profonds explorant l’identité, la conscience et la nature humaine, bien souvent publiés avec des couvertures stéréotypées et caricaturales. Comme pour les œuvres de Dick, il faut « ouvrir le livre » pour découvrir toute la substance de ce projet, où Pare Baal mêle des sonorités futuristes à une réflexion engagée.
Le premier titre éponyme du projet donne le ton immédiatement. Pare Baal y reprend même la voix off des Psy4 de la Rime dans « Le Message » (extrait de Les Cités d’Or) qui elle même a été samplé sur le film du même nom, tout en adoptant une posture critique vis-à-vis de l’industrie musicale et de ses représentants. Le deuxième titre, « M.A.O », est tout aussi percutant, marqué par des punchlines mémorables comme : « Ils prendront jamais leur retraite comme Attali depuis Mitterrand » ou encore dans « Anticythère » : « J’leur tire dessus avec des balles antistress. »
NPSFLC : Un opus hétérogène animé par une seule substance : la révolte !
Contrairement à la majorité des rappeurs émergents qui suivent les tendances dominantes comme la trap, la cloud ou la drill (popularisée par Gazo), Pare Baal se distingue par son éclectisme. Chaque composition explore une influence différente, refusant de s’enfermer dans une case. Les beatmakers impliqués dans le projet incarnent cette diversité : LDonthebeat, Hikitaï, Nabil Ifourah, TheNite et Nicolas Jan, auxquels s’ajoutent des compositeurs plus jeunes comme Matthieu Perrin et Wy’zat (nom d’artiste de Johan Delettre). Tous contribuent à des arrangements modernes, mêlant musique électronique et pop. Wy’zat, notamment, s’est fait remarquer pour ses remix house comme « J’veux me faire beau ».
Mention spéciale à « M.A.O », qui alterne rythmiques et ambiances futuristes tout au long du morceau, et à « Anticythère », avec un rythme plus posé mais toujours imprégné d’un style ultra moderne.
Dans « Dinosaure », Pare Baal s’associe à Wy’zat et Nabil Ifourah pour un virage électro avec un sample rappelant « Dans la Minute » de Rohff et Humphrey. Hikitaï, avec un style électro rétro, a quant à lui produit des morceaux comme « Codex », « Nouvelle Jérusalem » et « Parasympathique ». Enfin, avec « Pou pou pidou », l’artiste puise dans des influences rock à la manière d’Eminem, notamment sur des titres comme « Rock Bottom », « Beautiful », ou « Berzerk ». Ce titre, produit par Boris The Blade, TheNite et Nicolas Jan, s’inspire du célèbre slogan de Marilyn Monroe pour offrir une ode à la solitude.
NPSFLC : Des références puissantes et un discours engagé
Pare Baal est connu pour son franc-parler et sa capacité à aborder des sujets variés avec audace. Impertinent et piquant, il n’épargne ni l’industrie musicale, ni la société, ni les idéologies. Dans « Nouvelle Jérusalem », il lâche : « Faut croire qu’jsuis tout seul donc j’boxe contre l’arbitre. »
Il multiplie les références littéraires et politiques, s’en prenant même aux islamistes dans « Parasympathique », et explore la dualité intérieure du personnage de Fight Club entre Edward Norton et Brad Pitt. Il cite également Le Petit Prince de Saint-Exupéry avec la phrase : « Dessine-moi un mouton électrique », en clin d’œil à Philip K. Dick.
Entre critique de la société, dénonciation des travers de l’industrie musicale et réflexion sur des thèmes universels comme l’amour ou la vérité, l’album distille une philosophie marquée par la désillusion. Si Kery James décrit la « déception » de la France dans « Meilleurs Vœux », Pare Baal, avec son ton ironique, semble avoir pris la pilule rouge de Matrix : « Je suis dans une forme paralympique » ou encore « C’est en enfer que se trouve le paradis. »
Un projet ambitieux et libéré des contraintes commerciales
L’album est accompagné de clips sombres et conceptuels qui renforcent l’atmosphère du projet. Que Pare Baal, encore en développement, injecte autant de créativité et de profondeur dans son travail prouve qu’il s’affranchit des impératifs marketing pour privilégier l’authenticité. Dans cette quête insensée de vérité au milieu des codes commerciaux et de la musique de consommation, Pare Baal touche un sommet artistique en refusant tout compromis.
Andjoo est originaire de Lille. Le rappeur s’est fait remarquer grâce à sa série de freestyles intitulée « Débrouillard ». Depuis, il enchaîne les singles marquants, tels que « 2024 », « On l’a fait », « Fais les danser » et son dernier titre « On se fait du mal ». Comme pour la plupart de ses morceaux, c’est le beatmaker Titiy4real qui est aux commandes. Ce dernier avait déjà collaboré avec Andjoo sur « On l’a fait » et « Fais les danser ». Leur travail commun donne naissance à des productions toujours aussi réussies.
Avec ce nouveau titre, Andjoo propose un morceau aux sonorités urbaines et entraînantes. Entre rap et chant, il joue avec un brin d’autotune pour signer un titre rythmé flirtant avec la pop urbaine.
Dans ce morceau, le rappeur raconte les hauts et les bas de sa relation avec sa « babe » : « J’ai besoin de toi pour décoller / Il n’y a personne qui s’est fait tout seul. » Une histoire sincère et universelle, dans laquelle beaucoup pourront se reconnaître. Le visuel, parfaitement adapté, met en scène le storytelling de ce titre.
Le clip a été réalisé par S7venEyes, connu pour son travail sur « Moment » de Negrito ou encore pour son rôle de photographe sur le featuring entre Naza et Ninho. Avec une réalisation de cette qualité, une production accrocheuse et un véritable talent pour raconter les histoires de sa génération, Andjoo démontre qu’il est prêt à s’investir pleinement dans son art.
Après une première édition qui a affiché complet, le concert La Capitale revient au Zénith de Paris le 21 mai 2025 pour une soirée qui s’annonce légendaire. Porté par Isis Production et Venant de La Capitale, cet événement devient peu à peu une institution incontournable dans le paysage de la musique urbaine française.
L’année dernière, La Capitale avait conquis son public en réunissant des artistes de premier plan pour un spectacle hors norme. Cette fois encore, la barre est placée très haut, avec une programmation qui reflète toute la diversité et la richesse du rap et du RNB français.
Une affiche à couper le souffle
L’édition 2025 brille par son ambition. Ce sont SDM, Landy, Imen ES, Leto, ou encore Gradur qui monteront sur scène pour faire vibrer le public. Des talents confirmés comme La Fouine et Heuss L’Enfoiré viendront également apporter leur énergie légendaire, tout en partageant la lumière avec des artistes prometteurs tels que Dadi, Genezio et Guy2Bezbar.
Mais La Capitale, c’est aussi la célébration des voix féminines qui font avancer la scène RNB. Ronisia et Lyna Mahyem s’imposent comme des figures incontournables, avec des performances attendues comme des moments d’émotion et de puissance.
Et pour que la fête soit totale, les incontournables DJ Alak Jackson et DJ Leska assureront une ambiance survoltée entre chaque prestation, transformant le Zénith en véritable temple de la fête.
Un événement au cœur de la culture urbaine
Plus qu’un simple concert, La Capitale est devenu un symbole : celui d’un rassemblement qui met en lumière la créativité, la diversité et la puissance d’une scène musicale en constante évolution. Le choix du Zénith, salle emblématique de la capitale, témoigne de l’envergure que cet événement a acquise en seulement deux éditions.
Pour le public, c’est une promesse : celle de vivre une soirée unique, où chaque performance sera une expérience à part entière. La Capitale 2025 n’est pas seulement un rendez-vous musical, c’est un hommage à toute une génération d’artistes qui marquent leur époque.
Une soirée qui s’annonce déjà sold out
Si vous avez manqué la première édition, c’est l’occasion de vous rattraper. Mais attention, les billets partent vite. Réservez dès maintenant pour être certain de vivre ce moment historique au cœur de Paris.
Le 21 mai 2025, La Capitale promet d’écrire un nouveau chapitre mémorable de la musique urbaine française. Soyez prêt à en faire partie.
Originaire de Saint-Quentin, Morain Crew s’est très tôt plongé dans l’univers du hip-hop, inspiré par des figures emblématiques comme Vanilla Ice et Public Enemy. Ses premières créations, façonnées par ses expériences personnelles et l’influence du rap français avec IAM et NTM, l’ont conduit à débuter dans le rap à 15 ans. Il se produisait sur des scènes locales avec ses amis, distribuant manuellement leurs CD. Cependant, la musique a brièvement laissé place à ses études en école de commerce, avant qu’un événement tragique ne relance cette passion.
Le tournant décisif de sa carrière survient après la perte de son frère, une épreuve bouleversante qui rallume la flamme musicale qu’ils partageaient. Avec le soutien de sa compagne et de ses proches, Morain Crew reforme un groupe et s’entoure de talents comme Fabio, un DJ, pour donner naissance à un collectif artistique. Leur premier album, À gauche de la Lune, dédié à son frère, explore avec une profonde sincérité des thèmes universels tels que le deuil et la résilience, mêlant rap, piano et voix dans une fusion musicale unique.
Son dernier titre, « S.O.S Papa Abîmé », marque un nouveau chapitre. Ce morceau poignant est un cri du cœur, où l’artiste dénonce les injustices liées à la garde parentale en France. Inspiré par son propre combat pour revoir son fils, qu’il est interdit de voir après un divorce tumultueux, Morain Crew met en lumière la douleur des pères privés de leurs enfants. Avec des paroles puissantes, il illustre un drame trop souvent ignoré : en France, 71 % des gardes sont accordées exclusivement à la mère. Ce titre dépasse l’histoire personnelle de l’artiste pour devenir un hymne au nom de tous les parents confrontés à ces injustices.
Avec une musique sincère et engagée, Morain Crew redéfinit les frontières du rap en y insufflant une émotion brute et universelle. Entouré de son collectif, il poursuit son chemin avec des projets ambitieux, incluant collaborations et nouvelles créations. Avec « S.O.S Papa Abîmé », il rappelle que l’art peut aussi être une arme, un moyen de sensibiliser et de transformer les épreuves personnelles en messages universels.
O-mega, artiste réunionnais, s’impose progressivement dans l’univers musical avec un style singulier. Ayant démarré dans le zouk en 2015, il a depuis évolué vers la pop urbaine et le rap, influencé par des figures comme Gims, Naps et Dadju. Son mélange de racines réunionnaises et de sonorités modernes lui permet de proposer une musique accessible, portée par une touche internationale.
Avec son nouveau single “Noche”, sorti le 6 décembre 2024, il aborde des thèmes de l’amour et des relations humaines avec des paroles authentiques et des beats urbains. Ce morceau marque un nouveau cap dans son parcours artistique, affirmant son ambition d’atteindre un public plus large.
Le clip de “Noche”, filmé entre paysages naturels et scènes urbaines, met en valeur l’univers créatif et sincère d’O-mega. Charismatique et dynamique, il se fait une place de choix sur la scène musicale, prêt à marquer les esprits.
Yoko MDL est originaire de Sarcelles. Trois mois après la sortie de son titre « Sativa », il revient avec « Sativa 2 ». La production instrumentale, signée Weazney Classique, se distingue par quelques notes de piano inquiétantes et un roulement de basse puissant. L’artiste enchaîne les punchlines, reflétant son vécu dans la rue.
Yoko MDL fait son grand retour avec le deuxième épisode de « Sativa » !
Il fait preuve d’une énergie débordante et d’une aisance remarquable au micro. Malgré son jeune âge, le rookie démontre une maturité hors norme et une vision douloureuse de la vie : « J’ai pris le goût à la mort, j’ai perdu l’envie de vivre ». Il s’autorise même quelques punchlines ironiques, telles que : « Sur Paname, ça bosse en Toyota, au début, je passe pour un VTC ».
Le visuel de « Sativa 2 » a été réalisé par Le Clown. À Sarcelles, il met en scène le rappeur entouré de ses proches. Collaborateur régulier d’Omerta, Le Clown a déjà réalisé de nombreuses vidéos pour eux, ainsi que le filmage d’un showcase d’Aya Nakamura, en présence de nombreuses stars.