Avec plus de 50 millions de streams audio et 3,7 millions de créations de vidéos sur les réseaux sociaux, Tayron Kwidan’s s’est imposé depuis 2022 comme l’un des visages montants de la scène afro française.
Tayron Kwidan’s, chanteur suisse de pop urbaine aux influences africaines tirées de ses origines congolaises, est en train de conquérir l’industrie musicale francophone. Après avoir sold out son premier concert à La Cigale en une heure, il dévoile son nouveau single « Keisha » premier extrait de son prochain album.
Tayron Kwidan’s est un chanteur suisse de pop urbaine aux influences congolaises. Dès son enfance, il est immergé dans la musique, rejoignant la chorale de l’église familiale. Après avoir été membre de plusieurs groupes rap en Suisse, Tayron Kwidan’s intègre le collectif Chicaloz Gang qui reconnaît son talent et l’encourage à se lancer en solo. Il autoproduit une série d’albums en tant qu’artiste indépendant et enchaîne des hits populaires sur TikTok avant d’être repéré par la maison de disque Warner Music France.
Depuis son plus jeune âge, Tayron a baigné dans la musique grâce à son frère passionné, avec lequel il rejoint la chorale de l’église familiale. Après avoir fait partie de plusieurs groupes rap suisses, Tayron a finalement intégré le collectif Chicaloz Gang qui a rapidement remarqué son talent pour le chant et l’a encouragé à se lancer en solo. Son titre « Tentation » extrait de l’album « DREAMS » a créé un véritable phénomène avec plus de 340 000 vidéos créées autour du morceau. Le titre a même été utilisé par la ligue de basket féminine américaine (WNBA) pour la présentation de sa draft 2023. De même, « Dantsido (Toc Toc Toc) » issu du projet « DREAMS II » a cumulé plus de 7 millions d’écoutes, permettant à Tayron d’être découvert par un public plus large.
Le premier single intitulé « Keisha » sera disponible dès le 17 novembre prochain. Tayron Kwidan’s continue ainsi sa montée en puissance dans le paysage musical français avec son mélange unique de pop urbaine et d’influences africaines.
