Avant de sortir « Nakamura » chez Rec 118, la jeune chanteuse Aya Nakamura n’avait pas encore connu l’emballement médiatique dont elle fait l’objet. A la sortie de son dernier opus début 2018, c’est une toute nouvelle Vie qui a commencé pour elle.
Portée par le succès extraordinaire de son titre « Djadja », l’artiste décroche un disque de platine en France et même un disque d’or aux Pays Bas. Avec son opus « Afro Pop », elle devient l’égérie d’une femme française qui s’assume en tout point, et une icone pour beaucoup.
Invitée aux Victoires de la Musique, la chanteuse a interprété son tube « Djadja » en live sans playback. Grosse performance même si elle repart bredouille. Elle qui avait été sélectionnée dans deux catégories (meilleure chanson originale, album de musiques urbaines).
La chanteuse qui a eu droit à une Interview dans le quotidien Libération (quotidien progressiste historique en France) a mis les points sur les i concernant le sens de ses morceaux. Elle parle par exemple des explications qu’elle a dû donner pour le sens du refrain de Djadja. Elle pense être attaquée parce qu’elle est une femme. C’est pour cette raison selon elle qu’on lui demande toujours le sens de ses propos.
« Je ne parle pas comme une gogole pourtant. Y a des rappeurs, ils inventent bien pire. Ce qui étonne c’est que je sois une fille. Je l’ai déjà dit, pourquoi il faut que je le redise ? Aya Nakamura
Elle finit par cette phrase magique :
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