Koba LaD lâche un freestyle inédit « Freestyle 2 Deluxe » ! (Vidéo)

Pour célébrer la réédition de son album L’Affranchi disponible depuis le 27 Septembre, Koba LaD est allé faire un petit tour dans les studios de Skyrock pour une semaine de Planète Rap. Pour l’occasion il a livré un freestyle « Freestyle 2 Deluxe » de 2 minutes 15 dans lequel il balaie tous les thèmes Trap.
En effet, la Trap fait l’apologie de la street Life, de la vente de drogue, de l’argent, des femmes et du mode de vie des gangsters. Ce genre est né aux Etats-Unis dont le terme renvoie aux lieux utilisés pour les trafics de drogue. Koba révèle s’inspirer du rappeur américain Chief Keef aussi bien pour le look, tout comme lui il bouge ses locks ou encore au niveau des thèmes musicaux. Lors d’une émission de Mehdi Maïzi, Rap jeu, Koba s’était attiré les foudres des puristes lorsqu’il avait prononcé la phrase « Mais c’est qui IAM ?», en réalité c’est un jeune né en 2000 qui a d’autres références musicales notamment américaines ou encore de rappeurs du 91 comme la Comera, ce qu’il a bien fait remarquer à Difool qui ne connaissait pas « Comment ça c’est quoi la Comera ? » et cela ne signifie pas qu’il n’en a aucune. Il nous le prouve dans ce freestyle car il cite Tupac et son amour du cognac « Du Lundi au lundi je bois du cognac comme Tupac », avant son décès Pac avait même enregistré une chanson clamant son amour au cognac Hennessey, « Mes ennemis tombent à la renverse quand ils me voient boire une bouteille de ce Hennessey ». Koba parle également de la vie indécente qu’il mène, ce qui nous rappelle instantanément ce célèbre lyric, « qu’est-ce que c’est trop bon la vie d’artiste », une vie dans laquelle l’argent est primordial et en faire plus en est le moteur, quand il pense à l’argent il « s’endort plus proche du ciel que de la terre ».  Il est dans la toute-puissance car il peut même tromper sa meuf avec sa sœur, ce qui est quand même très sale, et il est sûr qu’elle ne dira rien. Il ajoute également des lyrics plus personnels quand il parle du fait que ses grands frères ne lui ont rien donné, erreur qu’il ne reproduit pas avec son petit frère. Koba nous montre ici sa culture musicale qui est tournée vers les States et les rappeurs locaux et la totale maitrise de son art et plus particulièrement du genre dans lequel il officie.