À l’occasion de la sortie de son album Enna, on a reçu PLK pour un entretien d’une trentaine de minutes. En reprenant quelques phases importantes du projet, Polak s’est confié sur différents sujets, comme par exemple les vices de la « nouvelle génération« .
« Normalement je devrais pas le dire, mais notre génération se perd« , rappe-t’il dans Les comptes, une phrase sur laquelle on est revenu. Il fait ici référence aux réseaux sociaux et à l’influence négative qu’ils peuvent avoir sur une partie de la population, en poussant à une sorte de recherche malsaine du buzz et de tout ce qu’il y’a autour.
Cette quête amène certaines personnes à adopter de mauvais réflexes comme celui de tout filmer, tout partager sur internet au point d’en oublier même parfois de vivre les moments présents. Et ce vice complique même sa propre vie privée, car en tant que personnalité connue il ne peut plus avoir d’activités normales comme par exemple aller boire un verre avec une fille, sous peine de se voir filmé et partagé sur les réseaux dans la seconde.
Évidemment, PLK reste conscient du fait que ces côtés négatifs et malsains des réseaux et d’internet en général sont faibles par rapport à tous les bénéfices que l’on en retire, et notamment la musique qui a vu éclore des dizaines d’artistes grâce au buzz, comme Wejdene récemment. Il faut simplement les utiliser à bon escient…
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