Hier, Nabilla Benattia était l’invité très spéciale de « sept à huit » sur TF1. Il y a deux ans, la bimbo de la télé réalité était soupçonnée d’avoir poignardé son compagnon Thomas Vergara. Elle a passé quelques mois en prison à cause de cette histoire. Dans « Sept à Huit », elle est revenue sur ce passé douloureux. Et c’est une Nabilla complètement métamorphosée qui s’est présentée devant les caméras de TF1.
Elle a déclaré : Il s’est passé que y’avait deux personnes qui s’aimaient très fort, très très fort. Ces deux personnes étaient perdues, elles étaient aspirées dans un tournant médiatique, avec une pression horrible sur les épaules. (…) trop de poids sur les épaules et ces personnes-là ont perdu pied, moi la première. ». En réalité, Thomas la trouvait trop aguicheuse dans l’émission de Cyril Hanouna « Touche Pas à mon Poste » : « Thomas a aussi eu le rôle d’un père que j’ai jamais eu… Il avait un coté très protecteur avec moi et il voulait vraiment me protéger de tout ça. Et moi, (…) j’étais très dans le sexy, dans la mise en scène et lui il m’aimait vraiment, ça ne lui plaisait pas, il voyait le regard des gens sur moi, quand je mettais des décolletés, des tenues qui faisaient too much sur moi. Lui ça le blessait et il avait peur pour moi, vraiment. »
Au moment de la dispute, la situation dégénère : « On a pété les plombs tous les deux je crois. » Puis il lui prend son portable, elle le couteau, « mais ça aurait pu être la louche » : « C’est vrai, il y a des choses dans la vie qui se passe hyper vite, on n’a pas le temps de réfléchir et pourtant on devrait. Je veux que tout s’arrête, que tout se calme, qu’on aille bien tous les deux. J’essaie de faire en sorte que la situation s’apaise mais il n’y a rien à faire alors j’essaie de faire peur et en faisant peur et bin… Il se passe quelque chose. (…) la situation dégénère, c’était plus facile à dire dans le livre. »
Elle se rend compte alors de ce qu’elle a fait : « Après j’ai peur, je cherche de l’aide, j’essaie de trouver quelqu’un pour m’aider mais lui il ne voulait pas appeler les secours, il pensait qu’il allait bien. Il avait peur de tout ce que les gens allaient dire sur nous. C’était hors de questions que je le laisse comme ça. S‘il meurt, je meurs aussi. »« Après j’ai peur, je cherche de l’aide, j’essaie de trouver quelqu’un pour m’aider mais lui il ne voulait pas appeler les secours, il pensait qu’il allait bien. Il avait peur de tout ce que les gens allaient dire sur nous. C’était hors de questions que je le laisse comme ça. S‘il meurt, je meurs aussi. ».
Elle donne ensuite plusieurs version à la Police « par peur tout simplement ». Elle a raconté ces quelques jours passés en prison… Apparemment les autres détenus ont été solidaires avec elle.